Formation des chauffeurs de bus

Extrait de presse
Extrait de presse, 7dimanche : "La Région facilite les stages de conduite pour les futurs chauffeurs de bus".

Extraits de l'article publié par 7Dimanche :

Le gouvernement bruxellois a modifié l’arrêté royal de 1998 sur le permis de conduire dans ce sens, ont annoncé jeudi le ministre bruxellois de l’Emploi, Bernard Clerfayt (DéFI), et la ministre de la Mobilité, Elke Van den Brandt (Groen). 

Dorénavant, la condition de guide unique pour un stage de conduite de chauffeur de bus/autocar ne sera plus appliquée à Bruxelles si le candidat au permis est un chercheur d’emploi inscrit dans une Formation Professionnelle Individuelle en Entreprise (FPI-E).FPI-E.

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Concours des étudiants et apprentis "Be.Cheffe"

Extrait de presse
Extrait de presse, Sudpresse : « Julia Lemaire remporte le concours "Be Cheffe" ».

Extraits de l'article publié par Sudpresse :

Julia Lemaire a tout juste 18 ans et elle vient de remporter une compétition culinaire belge exclusivement réservée aux femmes dans sa catégorie étudiants ou apprentis.

Il s'agit d'une fameuse reconnaissance de ses compétences et de sa volonté de réussir dans un milieu encore fortement masculin. Les récompenses de concours prestigieux ont été remises en présence de notre premier Ministre Alexander Decroo et de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l'Emploi et de la Formation Professionnelle.

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Formation des chauffeurs de bus

Extrait de presse
Extrait de presse, BX1 : "La Région bruxelloise facilite les stages de conduite pour les futurs chauffeurs de bus".

Extraits de l'article publié par BX1 :

Dorénavant, la condition de guide unique pour un stage de conduite de chauffeur de bus ou d’autocar ne sera plus appliquée si le candidat au permis est un chercheur d’emploi inscrit dans une Formation Professionnelle Individuelle en Entreprise (FPI-E).FPI-E.

[…] A l’échelle du pays, il manquerait plus de 1.500 chauffeurs de bus. Cette pénurie impacte fortement les entreprises du secteur du transport collectif, déjà confrontées au vieillissement de leurs employés. “Il faut former plus et plus vite“, a justifié le ministre Clerfayt, dans un communiqué.

Actuellement, les chercheurs d’emploi ont plusieurs possibilités pour devenir chauffeurs d’autocar : auto-école, centres de formation, enseignement en promotion sociale et la formule moins connue de la Formation Professionnelle Individuelle en Entreprise qui permet de se former sur le terrain et de décrocher, à la fin de sa formation, un contrat de travail au moins équivalent à la durée de la formation.

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Favoriser la formation en entreprise des chauffeurs de car

Actualité
Favoriser la formation en entreprise des chauffeurs de car

Il existe différents moyens de se former au métier : auto-école, centres de formation ou… la formation en entreprise des chauffeurs de car. 

Un assouplissement indispensable

Le gouvernement bruxellois a modifié l’arrêté royal de 1998 sur le permis de conduire. Dorénavant, la condition de guide unique ne sera plus appliquée si le candidat au permis est un chercheur d’emploi inscrit dans une formation professionnelle individuelle en entreprise (FPI-E). 

« C’est insensé de limiter le nombre de chercheurs d’emploi formés, d’autant plus qu’il s’agit d’un secteur qui manque cruellement de main d’œuvre. Ce petit coup de pouce est un moyen d’encourager la formation en entreprise, véritable autoroute vers l’emploi », conclut le Ministre amarante. 

La formation en entreprise des chauffeurs de car débouche rapidement sur un emploi

Aujourd’hui, plusieurs choix se présentent aux chercheurs d’emploi pour devenir chauffeurs d’autocar : auto-école, centres de formation, enseignement en promotion sociale et une formule moins connue, la formation professionnelle individuelle en entreprise (FPI-E). Celle-ci est d’autant plus intéressante qu’elle permet de se former sur le terrain et de décrocher, à la fin de sa formation, un contrat de travail au moins équivalent à la durée de la formation. 

« Ce type de formation, sur le terrain, c’est du gagnant-gagnant ! Le chercheur d’emploi trouve du travail rapidement et perçoit des indemnités le temps de sa formation. L’employeur, lui, peut former son futur collaborateur selon ses besoins et combler ainsi son déficit de personnel. C’est un très bon moyen de lutter contre les pénuries », précise Bernard Clerfayt.

Une contrainte qui limitait le nombre de stagiaires

Un seul écueil était lié à la mise en œuvre de cette formation : la législation liée au permis de conduire. Pour obtenir son permis D, précieux sésame pour exercer la fonction de chauffeur de bus, l’apprentissage en filière libre devait être supervisé par un guide. Or, ce dernier ne pouvait accompagner qu’un seul candidat par an. Dans le cadre de la FPI-E, cette condition restreignait considérablement le nombre de stagiaires pouvant bénéficier d’une formation.

La pénurie de chauffeurs impacte les entreprises

A l’échelle du pays, il manquerait plus de 1.500 chauffeurs de bus. Ce métier figure d’ailleurs sur les listes des fonctions en pénurie de chaque région. Une pénurie qui impacte fortement les entreprises du secteur du transport collectif, déjà confrontées au vieillissement de leurs employés. 

Lutte contre les pénuries d’emploi : Un coup de pouce pour favoriser la formation en entreprise des chauffeurs de car

Communiqué de presse

 Il existe différents moyens de se former au métier de chauffeur de car : auto-école, centres de formation ou… directement en entreprise.  Face à la pénurie de personnel dans le secteur, le Ministre bruxellois de l’Emploi, Bernard Clerfayt, et la Ministre bruxelloise de la Mobilité, Elke Van Den Brandt, ont décidé d’encourager cette formule d’apprentissage et de simplifier sa mise en œuvre.  

A l’échelle du pays, il manquerait plus de 1.500 chauffeurs de bus. Ce métier figure d’ailleurs sur les listes des fonctions en pénurie de chaque région. Une pénurie qui impacte fortement les entreprises du secteur du transport collectif, déjà confrontées au vieillissement de leurs employés. 

« Il faut former plus et plus vite », intervient Bernard Clerfayt. Aujourd’hui, plusieurs choix se présentent aux chercheurs d’emploi pour devenir chauffeurs d’autocar : auto-école, centres de formation, enseignement en promotion sociale et une formule moins connue, la formation professionnelle individuelle en entreprise (FPI-E). Celle-ci est d’autant plus intéressante qu’elle permet de se former sur le terrain et de décrocher, à la fin de sa formation, un contrat de travail au moins équivalent à la durée de la formation. 

« Ce type de formation, sur le terrain, c’est du gagnant-gagnant ! Le chercheur d’emploi trouve du travail rapidement et perçoit des indemnités le temps de sa formation. L’employeur, lui, peut former son futur collaborateur selon ses besoins et combler ainsi son déficit de personnel. C’est un très bon moyen de lutter contre les pénuries », précise Bernard Clerfayt. 

Seul écueil lié à la mise en œuvre de cette formation : la législation liée au permis de conduire. Pour obtenir son permis D, précieux sésame pour exercer la fonction de chauffeur de bus, l’apprentissage en filière libre doit être supervisé par un guide. Or, ce dernier ne peut accompagner qu’un seul candidat par an. Dans le cadre de la FPI-E, cette condition restreint considérablement le nombre de stagiaires qui peuvent bénéficier d’une formation. 

Le gouvernement bruxellois a donc modifié l’arrêté royal de 1998 sur le permis de conduire. Dorénavant, la condition de guide unique ne sera plus appliquée si le candidat au permis est un chercheur d’emploi inscrit dans une FPI-E. 

« C’est insensé de limiter le nombre de chercheurs d’emploi formés, d’autant plus qu’il s’agit d’un secteur qui manque cruellement de main d’œuvre. Ce petit coup de pouce est un moyen d’encourager la formation en entreprise, véritable autoroute vers l’emploi », conclut le Ministre amarante. 

« Faciliter ces formations de futurs chauffeurs de bus et car, en entreprise, est une solution simple et rapide à la fois, pour les entreprises formatrices qui pourront recruter plus facilement dans ce métier en tension, et pour les candidats qui ont la quasi-certitude que leur formation débouchera sur un emploi. Je suis heureuse de ce win win, rendu possible grâce à une belle collaboration avec mon Collègue Bernard Clerfayt. Je veux évidemment rassurer tous les usagers de la route, Il s’agit ici uniquement d’une simplification administrative. Le contenu de la formation et les exigences de sécurité routière de l’examen resteront bien-entendu les mêmes », déclare Elke Van Den Brandt.

« Le secteur des entreprises privées d'autobus et d'autocars remercie les ministres Clerfayt et Van den Brandt d’autoriser les accompagnateurs au sein de nos entreprises bruxelloises à désormais former plus d'un candidat-chauffeur par an. Cet assouplissement permet aux candidats-chauffeurs d'obtenir plus rapidement leur permis de conduire D et de commencer à travailler plus facilement dans les entreprises autobus et autocar », affirme Pieter Van Bastelaere, CEO de la fédération du secteur FBAA.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Une subvention pour aider les NEETs à réintégrer le marché du travail

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "Coup de boost pour les « NEETs » : une subvention de 240.000€ pour cinq CPAS de Bruxelles".

Extraits de l'article publié par La Capitale:

Sur proposition du ministre bruxellois de l'Emploi, Bernard Clerfayt (DéFI), le gouvernement a approuvé l'octroi d'une subvention de 240.000€ à cinq CPAS bruxellois afin de réintégrer les NEETs dans un parcours de formation. En 2019, le taux de NEETs en Région bruxelloise s'élevait à 12,9 %. En 2022, ce pourcentage baisse à 9,1 %.

[…] Ce nouveau budget permettra à plus de NEETs d'être accompagnés. […]

« En intégrant un parcours de formation ou en reprenant des études, ces jeunes vont considérablement augmenter leurs chances de s'insérer sur le marché de l'emploi. Et on sait bien qu'accéder durablement à l'emploi va leur permettre de sortir de la précarité et gagner en autonomie », conclut Bernard Clerfayt.

Lire l'article complet sur le site Sudpresse

Un coup de boost pour les « NEETs » bruxellois

Actualité
Formations pour les jeunes sans emploi

Sur proposition du Ministre bruxellois de l’Emploi, Bernard Clerfayt, le gouvernement a approuvé l’octroi d’une subvention de 240.000€ à cinq CPAS bruxellois afin de réintégrer les « NEETs » dans un parcours de formation. Un « NEET » est un jeune qui n’est ni à l’emploi ni en formation ni aux études. 

Un programme qui a fait ses preuves pour la formation des « NEETs »

Cette initiative développée par les CPAS bruxellois d’Anderlecht, Molenbeek, Bruxelles, Schaerbeek et Saint-Gilles en collaboration avec la Fédération Wallonie Bruxelles poursuit un objectif : (re)mettre le jeune dans un parcours de formation.

Ces ateliers existent depuis 2016 et on constate que 75% des jeunes participants ont au maximum leur diplôme du secondaire inférieur. Surtout, les chiffres montrent que, à l’issue de l’atelier, 85% des participants ont soit décidé d’intégrer une formation soit opté pour poursuivre un nouvel atelier.

Des outils adaptés aux besoins de ce public

Ce nouveau budget permettra à plus de « NEETs » d’être accompagnés. Ils bénéficieront de remédiations dans les compétences de bases (français, mathématiques, etc.), de modules d’orientation, d’un appui spécifique pour réintégrer l’école ou une formation, d’un accompagnement dans la réalisation de démarches administratives mais aussi de coaching pour renforcer leur confiance en eux.

« En intégrant un parcours de formation ou en reprenant des études, ces jeunes vont considérablement augmenter leurs chances de s’insérer sur le marché de l’emploi. Et on sait bien qu’accéder durablement à l’emploi va leur permettre de sortir de la précarité et gagner en autonomie », conclut Bernard Clerfayt.