Bien-être animal : la Région soutient un projet de « Paddock Paradise »

Communiqué de presse

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal, le gouvernement bruxellois a décidé de soutenir à hauteur de 38.500€, le projet « Paddock Paradise » de la ferme Nos Pilifs. Le but ? Offrir un nouvel espace aux chevaux, poneys, ânes et moutons, qui se rapproche le plus possible de leur habitat naturel et améliore ainsi leur santé et leur bien-être.

La Ferme Nos Pilifs est un endroit assez unique. Implantée depuis 1984 sur le territoire bruxellois, ses activités se développent autour de quatre pôles : le jardinage, l’alimentation durable, la formation et l’éducation.

La partie ferme d’animation s’adresse, quant à elle, à un public plus jeune, sensibilisé au monde de la ferme par une série d’activités. Au-delà du traitement des animaux, l’objectif est aussi d’attirer l’attention des enfants sur le rôle du potager, sur l’importance de la diversité dans les cultures, sur la consommation responsable, sur la tolérance…tout en créant un véritable échange entre les visiteurs et les encadrants.

Dans le cadre de ces activités, la ferme a pour projet de construire un « paddock paradise » pour réunir chevaux, ânes et moutons dans un nouvel espace de vie qui ressemble fortement à leur habitat naturel. Sur proposition du Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, la Région bruxelloise a décidé de soutenir cette installation à hauteur de 38.500€.

« Les animaux pourront profiter d’un environnement propice à leur bien-être et à leur santé. Ils seront, en effet, libres de se déplacer et de profiter d’un espace extérieur comme c’est le cas dans leur environnement naturel. Nous pouvons d’ailleurs observer un phénomène très positif sur le mental des équidés lorsqu’ils partagent leur lieu de vie avec d’autres espèces », déclare Bernard Clerfayt.

Par ailleurs, la ferme pourrait proposer également un programme d’hippothérapie. Cette approche de plus en plus répandue est une technique qui fait intervenir le cheval comme moyen thérapeutique, avec l'objectif d'améliorer les facultés psychiques, psychomotrices ou relationnelles des personnes.

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Budget Bien-être animal pour 2023

Extrait de presse
Extrait de presse, Supresse : "2,5 millions d'euros pour le bien-être animal à Bruxelles: un budget 2023 qui a quasi doublé depuis 2019"

Extraits de l'article publié par Sudpresse

Soutien aux communes, aux refuges, au secteur associatif, aux chercheurs… des moyens importants sont
débloqués à tous niveaux afin de garantir et améliorer la qualité de vie des animaux en Région bruxelloise.

[…] « La protection des animaux doit être une priorité. Il y va de notre vivre-ensemble et d'envisager une vie harmonieuse entre tous les êtres vivants en Région bruxelloise, qu'ils soient à deux ou quatre pattes, à plumes ou à poils », commente le ministre du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (DéFI)

[…] « Depuis mon entrée en fonction, j'ai travaillé ardemment pour augmenter sensiblement les moyens dévolus au bien-être animal. Résultat : entre 2019 et 2023, le budget a augmenté d'un million d'euros pour atteindre 2,5 millions. Des montants indispensables pour améliorer la qualité de vie de nos animaux », explique le Ministre amarante.

[…] « Nous avons décidé d'augmenter tous les moyens dédiés à nos partenaires. Car le bien-être animal, c'est
l'affaire de tous. C'est en travaillant ensemble que nous pourrons continuer à avancer », conclut Bernard Clerfayt.

Bien-être animal : Un budget 2023 qui a quasi doublé depuis 2019

Communiqué de presse

Bruxelles, le 30 novembre 2022 – Le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, présentait ce mercredi 30 novembre le budget alloué au bien-être animal. Soutien aux communes, aux refuges, au secteur associatif, aux chercheurs…des moyens importants sont débloqués à tous niveaux afin de garantir et améliorer la qualité de vie des animaux en Région bruxelloise.

« La protection des animaux doit être une priorité. Il y va de notre vivre-ensemble et d’envisager une vie harmonieuse entre tous les êtres vivants en Région bruxelloise, qu’ils soient à deux ou quatre pattes, à plumes ou à poils », commente le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt.

C’est pourquoi, ce dernier continue à soutenir et à élaborer de nombreux projets en la matière, grâce à des montants en constante évolution. En effet, si le budget atteignait 1,5 millions d’euros en 2019, il grimpe, en 2023, à 2,5 millions.

« Depuis mon entrée en fonction, j’ai travaillé ardemment pour augmenter sensiblement les moyens dévolus au bien-être animal. Résultat : entre 2019 et 2023, le budget a augmenté d’un million d’euros pour atteindre 2,5 millions. Des montants indispensables pour améliorer la qualité de vie de nos animaux », explique le Ministre amarante.

Mais ce travail ne se fait pas seul. Pour y arriver, la Région peut compter notamment sur les communes et le secteur associatif. C’est pourquoi, les montants accordés aux communes ont été doublé depuis 2019 pour atteindre 225.000 en 2023. Quant aux associations, leur budget a été multiplié par 4, passant de 70.000 euros en 2019 à 285.000 euros en 2023.  

« Nous avons décidé d’augmenter tous les moyens dédiés à nos partenaires. Car le bien-être animal, c’est l’affaire de tous. C’est en travaillant ensemble que nous pourrons continuer à avancer », conclut Bernard Clerfayt.  

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

 

De moins en moins d’expérimentations animales en Région de Bruxelles-Capitale

Actualité
Promouvoir les alternatives à l'expérimentation animale

Le rapport du département Bien-être animal de l’administration régionale Bruxelles-Environnement révèle une diminution de 45% du nombre d’animaux impliqués dans les expérimentations animales, depuis 2015.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées par exemple sur des cellules humaines, et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme » fait remarquer le Ministre Bernard Clerfayt. Cette diminution à nouveau confirmée du nombre d’animaux, le conforte dans son intention de continuer à soutenir la diffusion des méthodes de recherche alternatives.

Quelques caractéristiques de cette évolution

Au total, 55.473 animaux ont été concernés en Région bruxelloise. Comme observé les années précédentes, la très large majorité (68%) de ces expériences ont été réalisées dans le cadre de la recherche fondamentale. Elles sont en lien avec l’étude de l’oncologie, du système immunitaire ou du système nerveux.

Autre donnée constante : les rongeurs sont les plus nombreux (98,42%). Les oiseaux  représentent 1,25% et des animaux agricoles, sont peu nombreux (0,30%). À noter que, ces dernières années, aucune utilisation de primate, chien, chat, cheval, âne et croisement n’a été recensée dans la Région.

Enfin, durant l’année 2021, la majorité des animaux employés dans les établissements d’expérimentation sont des animaux non génétiquement modifiés. Une précision importante, car la modification du statut génétique peut entraîner dans certains cas un ressenti plus intense des animaux face à la douleur.

Expérimentation animale : de moins en moins d’animaux utilisés à Bruxelles

Communiqué de presse

Le département bien-être animal de Bruxelles Environnement vient de publier son rapport sur l’utilisation des animaux d’expérience en 2021. Ces données révèlent une baisse de 45% du nombre d’animaux employés pour l’expérimentation animale depuis 2015. Pour le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, ces chiffres sont encourageants et marquent une avancée substantielle pour l’utilisation de méthodes alternatives à l’expérimentation animale.

En 2021, ce sont 55.473 animaux qui ont été utilisés à des fins expérimentales en Région bruxelloise. Un nombre qui ne cesse de diminuer, puisqu’on peut observer une baisse de 45% par rapport à 2015.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées par exemple sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Ce résultat positif renforce mon intention de continuer à soutenir le développement de ce type de méthode » commente, le Ministre bruxellois, Bernard Clerfayt.

L’analyse des différentes données révèle que, comme les années précédentes, la très large majorité (68%) de ces expériences a été réalisée dans le cadre de la recherche fondamentale. Il s’agit d’expériences liées notamment à l’étude de l’oncologie, du système immunitaire ou du système nerveux.

Autre donnée constante : le groupe d’animaux le plus utilisé pour les expériences. Ce sont en effet toujours les rongeurs (98,42%) qui sont majoritairement employés suivi des oiseaux (1,25%) et des animaux agricoles (0,30%). A noter que, ces dernières années, aucune utilisation de primate non-humain, chien, chat, cheval, âne et croisement n’a été recensée dans la Région.

Enfin, durant l’année 2021, la majorité des animaux employés dans les établissements d’expérimentation sont des animaux non génétiquement modifiés. Une précision importante, car la modification du statut génétique peut entraîner dans certains cas un ressenti plus intense des animaux face à la douleur.

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

62% de chats dans les refuges bruxellois: "Il faut renforcer la stérilisation"

Actualité
62% de chats dans les refuges bruxellois

5.876 animaux sont passés par les refuges bruxellois en 2021. Voilà ce qui ressort du rapport annuel de Bruxelles Environnement comprenant les statistiques des refuges de la Région bruxelloise. On découvre d'ailleurs que parmi les pensionnaires, le chat reste l'espèce la plus représentée (62%). Fort de ce constat, le Ministre bruxellois du Bien-être animal entend bien renforcer sa politique de lutte contre la prolifération des chats.

Renforcer la stérilisation des chats

En 2021, 5.876 animaux  sont passés par  les refuges bruxellois dont plus de la moitié sont des félins. Un nombre toujours trop élevé même s’il diminue depuis plusieurs années. Un pic de prise en charge peut, comme les années précédentes, être relevé pendant l’été. On constate que la majorité d’entre eux trouvent un foyer et son adoptés (61%). On relève également une hausse du  pourcentage de chats déjà stérilisés au moment de leur prise en charge.

« Si on constate une amélioration avec 18% de chats qui arrivent castrés au refuge, contre 11% en 2018, le nombre de chats pris en charge reste beaucoup trop élevé. Pour éviter une vie de misère à des milliers de chats, il n’y a qu’une solution : la stérilisation. Une nouvelle campagne de sensibilisation sera menée en 2023 ainsi qu’un renforcement des moyens à disposition des refuges et des communes en vue d’obtenir, à terme, une réduction significative de la population de chats », déclare le Ministre bruxellois du Bien-être animal.

Moins d'euthanasies 

Notons que du côté des euthanasies, toutes espèces confondues, on peut remarquer une baisse continue des chiffres. Les refuges précisent d'ailleurs qu’elle est pratiquée, dans 99% des cas, compte tenu de l’état de santé de l’animal.

 

Bilan 2021 des refuges bruxellois : 62% des pensionnaires sont des chats

Communiqué de presse

Bruxelles Environnement a publié son rapport annuel comprenant les statistiques des refuges de la Région bruxelloise. 5.876 animaux sont passés par les refuges bruxellois en 2021 : un nombre qui n’a jamais été aussi bas depuis 2015. Comme chaque année, le chat tient le haut du classement et reste donc l’espèce que l’on retrouve le plus souvent en refuge. Fort de ce constat, le Ministre bruxellois du Bien-être animal entend bien renforcer sa politique de lutte contre la prolifération des chats.

La Région bruxelloise compte actuellement neuf refuges dont sept accueillent des chats. En 2021, 5.876 animaux  sont passés par  les refuges bruxellois dont 62% sont des félins. Un nombre toujours trop élevé même s’il diminue depuis 2019. Un pic de prise en charge peut, comme les années précédentes, être relevé pendant l’été. On constate que la majorité d’entre eux trouvent un foyer et son adoptés (61%). On relève également une hausse du  pourcentage de chats déjà stérilisés au moment de leur prise en charge.

« Si on constate une amélioration avec 18% de chats qui arrivent castrés au refuge, contre 11% en 2018, le nombre de chats pris en charge reste beaucoup trop élevé. Pour éviter une vie de misère à des milliers de chats, il n’y a qu’une solution : la stérilisation. Une nouvelle campagne de sensibilisation sera menée en 2023 ainsi qu’un renforcement des moyens à disposition des refuges et des communes en vue d’obtenir, à terme, une réduction significative de la population de chats »», déclare le Ministre bruxellois du Bien-être animal.

Après le chat, ce sont successivement, les oiseaux (19%) et les chiens (14%)que l’on retrouve le plus souvent dans les refuges. Une bonne nouvelle concerne les canidés puisque le nombre de prise en charge est en constante diminution depuis 2016 et n’a jamais été aussi bas sur ces deux dernières années. Environ 75% de nos amis à quatre pattes ont en outre eu la chance de trouver une nouvelle famille.

Autre constatation : le nombre d’euthanasies, toutes espèces confondues, poursuit sa décroissance. Les refuges précisent qu’elle est pratiquée, dans 99% des cas, compte tenu de l’état de santé de l’animal.

Contact 

Marine Deschouwer - 0498/148448