Plus de Bruxellois trouvent un emploi en Flandre

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Plus de Bruxellois trouvent un emploi Flandre

En cinq ans, le nombre de navetteurs bruxellois se rendant en Flandre a augmenté de 20%. Et les derniers chiffres montrent que cette tendance positive se poursuit puisque fin 2021, 56.067 Bruxellois travaillaient en Flandre. Aujourd’hui, Actiris et le VDAB veulent convaincre davantage de chercheurs d'emploi bruxellois de trouver un emploi en Flandre.

Succès pour la collaboration VDAB-Actiris

« Ces bons résultats ne sont pas le fruit du hasard. Bruxelles est précurseur de ce type d’accord et nous travaillons avec la Flandre depuis de nombreuses années afin d’améliorer la mise à l’emploi des Bruxellois en périphérie» relève le ministre de l’Emploi et de la Formation Bernard Clerfayt.

Autour de Bruxelles, la demande de nouveaux collaborateurs est élevée. Au cours des 12 derniers mois, les employeurs de cette région ont publié plus de 40 000 offres d'emploi auprès du VDAB.

Un potentiel important

Les secteurs qui emploient le plus de Bruxellois sont le commerce de détail, le transport et l'entreposage ainsi que les services administratifs et de soutien. Au nord-est de Bruxelles, ce sont surtout les professions scientifiques et les TIC qui emploient les Bruxellois. Au sud/sud-ouest, ce sont l'industrie et la construction.

Fin juillet, Bruxelles comptait 89.231 chercheurs d'emploi. Actiris et le VDAB veulent faire correspondre leur profil aux fortes demandes en main d’œuvre de la Flandre. Pour ce faire, il faut renforcer le niveau de compétences des Bruxellois, y compris linguistiques.

Les contraintes de l’offre de transport

« […] si l’on veut être encore plus ambitieux, il faut aussi que l’offre de transports publics permette aux Bruxellois de travailler en Flandre. Par exemple, le bassin d’emploi de l’aéroport restera inaccessible pour une quantité de Bruxellois si l’on ne peut pas y accéder en transports en commun la nuit » pointe le ministre Bernard Clerfayt.

Actiris et le VDAB, en collaboration avec Idea Consult et HIVA, ont d’ailleurs étudié le temps de trajet nécessaire pour rejoindre les communes de la périphérie en transport en commun. Si la distance physique entre Bruxelles et la périphérie est minime, force est de constater qu’il n’est pas toujours facile de se rendre en Flandre.

Pour que 2000 Bruxellois en plus trouvent un emploi en Flandre

La mobilité interrégionale entre Bruxelles et la Flandre est donc un objectif important des gouvernements bruxellois et flamand. Chaque année, ils souhaitent que 2.000 Bruxellois supplémentaires trouvent un emploi en Flandre. Un objectif augmenté de 10% chaque année.

« La mobilité interrégionale fait partie des priorités d’Actiris. Notre coopération avec le VDAB existe depuis longtemps et se renforce d’année en année, ce qui est une très bonne chose. La Flandre recherche activement de la main d’œuvre, il est donc important de sensibiliser et d’accompagner les chercheurs d’emploi bruxellois vers la périphérie bruxelloise et la Flandre de manière générale », détaille Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

De plus en plus de Bruxellois travaillent en Flandre

Communiqué de presse

Bruxelles, le 21 septembre 2023 - Ces dernières années, le nombre de Bruxellois qui, chaque matin, fait la navette vers la Flandre a augmenté de manière importante. Plus de 56.000 Bruxellois travaillent dans la périphérie. Ces bons résultats ne sont pas le fruit du hasard. Depuis longtemps, Bruxelles et la Flandre collaborent pour permettre à plus de Bruxellois de travailler en périphérie. Aujourd’hui, Actiris et le VDAB veulent convaincre davantage de chercheurs d'emploi bruxellois de postuler en Flandre.

La navette de Bruxelles vers la Région flamande a fortement augmenté ces dernières années. C'est ce que révèle un rapport d'Actiris et du VDAB. Entre juin 2014 et juin 2015, 42.409 travailleurs bruxellois ont fait la navette vers la Flandre pour travailler. Entre 2019 et 2020, ils étaient 52.408. En cinq ans, le nombre de navetteurs bruxellois se rendant en Flandre a augmenté de 20%. Et les derniers chiffres montrent que cette tendance positive se poursuit puisque fin 2021, 56.067 Bruxellois travaillaient en Flandre.

La mobilité interrégionale entre Bruxelles et la Flandre est donc un objectif important des gouvernements bruxellois et flamand. Chaque année, ils souhaitent que 2.000 Bruxellois supplémentaires occupent des postes vacants en Flandre. Un objectif augmenté de 10% chaque année.

« Ces bons résultats ne sont pas le fruit du hasard.  Bruxelles est précurseur de ce type d’accord et nous travaillons avec la Flandre depuis de nombreuses années afin d’améliorer la mise à l’emploi des Bruxellois en périphérie. Cependant, si l’on veut être encore plus ambitieux, il faut aussi que l’offre de transports publics permette aux Bruxellois de travailler en Flandre. Par exemple, le bassin d’emploi de l’aéroport restera inaccessible pour une quantité de Bruxellois si l’on ne peut pas y accéder en transports en commun la nuit », détaille Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

« La mobilité interrégionale fait partie des priorités d’Actiris. Notre coopération avec le VDAB existe depuis longtemps et se renforce d’année en année, ce qui est une très bonne chose. La Flandre recherche activement de la main d’œuvre, il est donc important de sensibiliser et d’accompagner les chercheurs d’emploi bruxellois vers la périphérie bruxelloise et la Flandre de manière générale », détaille Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Le temps de trajet détermine la mobilité

Actiris et le VDAB, en collaboration avec Idea Consult et HIVA, ont étudié le temps de trajet nécessaire pour rejoindre les communes de la périphérie en transport en commun. Si la distance physique entre Bruxelles et la périphérie est minime, force est de constater qu’il n’est pas toujours facile de se rendre en Flandre.

Les communes de Bruxelles, Schaerbeek, Anderlecht, Molenbeek et Ixelles offrent un accès facile vers la Flandre. Ces communes présentent d’ailleurs un flux important de navetteurs.

Pour les communes de Ninove, Steenokkerzeel, Beersel, Overijse, Meise et Tervuren, le défi est plus grand car leur accessibilité à partir de Bruxelles est plus limitée.

Autour de Bruxelles, la demande de nouveaux collaborateurs est élevée. Au cours des 12 derniers mois, les employeurs de cette région ont publié plus de 40 000 offres d'emploi auprès du VDAB. Les communes de Louvain, Malines, Alost, Zaventem (aéroport de Bruxelles), Halle, Vilvorde, Machelen, Asse et Dilbeek sont les plus accessibles depuis Bruxelles, avec un temps de trajet maximal d'une heure. Et la demande de travailleurs est particulièrement élevée dans ces communes.

Un potentiel important

Les secteurs qui emploient le plus de Bruxellois sont le commerce de détail, le transport et l'entreposage ainsi que les services administratifs et de soutien. Au nord-est de Bruxelles, ce sont surtout les professions scientifiques et les TIC qui emploient les Bruxellois. Au sud/sud-ouest, ce sont l'industrie et la construction.

Fin juillet, Bruxelles comptait 89.231 chercheurs d'emploi. Actiris et le VDAB veulent faire correspondre leur profil aux fortes demandes en main d’œuvre de la Flandre. Pour ce faire, il faut renforcer le niveau de compétences des Bruxellois, y compris linguistiques.

 

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Formation des jeunes chercheurs d'emploi

Extrait de presse
Extrait de presse, Le Soir : "Intégration Quel chemin de formation pour mener les jeunes Bruxellois à l’emploi ?"

Extraits de l'article publié par Le Soir:

En Région bruxelloise, un jeune sur cinq (21,7 % des 15-24 ans au premier trimestre 2023) se présentant sur le marché de l’emploi est au chômage. Un chiffre moins élevé que dans d’autres grandes villes comme Charleroi ou Liège et meilleur que la moyenne wallonne (23,3 % au T1 2023).

Il n’empêche, tant pour Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle, que pour Ibrahim Ouassari, fondateur et CEO de Molengeek (qui veut rendre le secteur des technologies accessible à tous, notamment via des programmes de formation), cela reste un problème majeur.

[…] « On vient d’un tiers il y a une dizaine d’années », précise-t-il sur le taux de chômage des jeunes bruxellois. « On est à un cinquième. Mais c’est toujours un cinquième de trop. »

[…] « Bruxelles a le marché le plus exigeant en termes de compétences. Donc pour accéder à la masse des emplois, il vaut mieux être formé. »

[À propos des indemnités de formation]

[…] Sur les deux euros de prime, le ministre tient aussi à préciser qu’à son arrivée, les formations n’étaient payées qu’un euro de l’heure. « La décision politique est prise pour passer à trois euros pour les formations dans les métiers en pénurie. Le budget est débloqué, mais je n’arrive pas à les dépenser parce que je n’ai pas obtenu d’accord du pouvoir fédéral qui me garantit que cette prime n’est pas fiscalisée. »

Emploi et formation en alternance

Extrait de presse
Bernard Clerfayt (DéFI), ministre de l'Emploi : « Le stage doit redevenir le cœur de la formation en alternance »

Extraits de l'article publié par Sudpresse

Diminution du taux de chômage et hausse du taux d'emploi à Bruxelles, Bernard Clerfayt (DéFI) désire poursuivre en misant sur la formation. Le ministre de l'Emploi a lancé le bilan de compétence et s'attelle à réformer la formation en alternance.

On pourrait l'appeler Monsieur Formation tant il n'a pratiquement que ce mot à la bouche quand il est question d'emploi. « Si on veut réussir la mise à l'emploi du plus grand nombre, nous devons continuer ce que Didier Gosuin (DéFI), ministre avant moi, a lancé et qui est la priorité : faire monter en gamme le niveau de compétences professionnelles des chercheurs d'emploi puisque 60 % d'entre eux n'ont que de faibles compétences ou des compétences acquises à l'étranger et qui ne sont pas valorisables malheureusement aujourd'hui sur le marché de l'emploi », affirme d'emblée Bernard Clerfayt (DéFI), ministre de l'Emploi.

« Il n'y a jamais eu autant de Bruxellois à l'emploi qu'aujourd'hui : 509.000, c'est presque 30.000 emplois de plus. 70 % des nouveaux emplois créés sont occupés par des Bruxellois », présente fièrement l'élu amarante. « On est sur une vraie tendance de réduction du taux de chômage et une hausse du taux d'emploi. On est la région qui a le plus progressé, on frôle les 66 % pour le taux d'emploi. L'objectif politique général de 80 %, 3,5 % pour la Région bruxelloise, pour 2030 est atteignable. »

[…] Notre travail est à moyen terme : structurer les dispositifs pour accompagner les chercheurs d'emploi et faire correspondre au mieux leurs compétences à celles des marchés de l'emploi »

[À propos de l'alternance]

« On veut remettre le stage au cœur de la formation. Par le passé, on a accueilli des élèves qui n'avaient pas de stage en entreprise, autrement dit la moitié de la formation n'y était pas. Nous avons renforcé la prime tuteur pour que plus d'entreprises puissent dégager quelques heures sur la journée d'un tuteur, travailleur expérimenté, pour transmettre son savoir au jeune en alternance. Nous allons sécuriser un peu plus le parcours des jeunes car on en a une série qui décroche. On doit mettre des conditions financières et d'accompagnement psychologique pour maintenir les jeunes en formation en alternance plus longuement. On va faire passer un test à l'entrée d'orientation pour bien vérifier le niveau des jeunes et être certains si besoin de leur donner l'accompagnement dès le début pour éviter qu'ils en décrochent »

[…] « Si au bout d'une année, on n'a pas eu la chance de trouver du boulot, on doit s'interroger avec son accompagnateur d'Actiris ce qui l'éloigne du marché de l'emploi. À Bruxelles, un emploi sur deux est pris par un navetteur. Si on veut augmenter la part des Bruxellois, il faut qu'à chaque interview, à chaque occasion, ils puissent être les meilleurs. C'est le job d'Actiris d'accompagner les chercheurs d'emploi de longue durée pour faire un bilan de compétence et les réorienter vers l'emploi. Il faut une modification des pratiques d'Actiris, c'est en cours et ça va mettre un certain temps. »

[…] « Si le taux de croissance était plus grand, nous pourrions aller plus vite à la reconquête de l'emploi au bénéfice des Bruxellois »

Priorité à la formation

Extrait de presse
Extrait de presse, Trends : «Former est le meilleur moyen de rapprocher les Bruxellois de l’emploi»

Extrait de l'article publié par Trends

[…] Bernard Clerfayt s’est fixé un cap dès l’entame de son mandat : mettre plus de Bruxellois à l’emploi. Quatre ans plus tard, le nombre de Bruxellois à l’emploi n’aura jamais été aussi élevé ! 509.000 Bruxellois ont un travail. Ils étaient 466.064 en 2019.

[…] «Nous devons accompagner les chercheurs d’emploi et cela passe par la formation. C’est le meilleur moyen de les rapprocher de l’emploi. C’est pourquoi, j’investis, depuis le début de mon mandat, dans le développement des compétences des Bruxellois. Notre dernière grande mesure en la matière est la mise en place d’un bilan de compétences ».

[…] « En proposant des candidats formés, nous améliorons l’offre de service d’Actiris aux employeurs. Ensuite, c’est un cercle vertueux : plus l’employeur est satisfait, plus il travaillera avec Actiris, plus nous mettrons de Bruxellois à l’emploi », insiste le Ministre amarante.

Lire l'article sur le site de Trends

Dispenses de disponibilité en tant que chercheur d'emploi

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "6.000 chercheurs d’emploi formés en 2022 à Bruxelles grâce aux dispenses de disponibilité".

Extraits de l'article publié par La Capitale:

Chez Actiris, les chercheurs d’emploi doivent prouver qu’ils sont actifs sur le marché de l’emploi. Tous, sauf ceux qui bénéficient d’une dispense de disponibilité, qui permet de se former tout en gardant leurs allocations de chômage.

[…] « Le but des dispenses de disponibilité est d’encourager les Bruxellois à se former. La formation, c’est la voie royale vers l’emploi et une porte de sortie du chômage. En relevant leur niveau de compétences, les chercheurs d’emploi augmentent significativement leurs chances de décrocher un emploi », précise Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois de l’Emploi. […]

Lire l'article complet sur le site de SudPresse

Cours à distance et octroi des allocations familiales

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Suivre des cours à distance et bénéficier des allocations familiales

Les allocations familiales seront dorénavant accordées aux jeunes engagés dans un cursus à distance. Acquérir des compétences grâce à des cours à distance, c’est tout à fait possible ! Le « e-learning » est un phénomène en pleine expansion.

Un arrêté modifie les conditions d’octroi des allocations familiales

Bernard Clerfayt, ministre bruxellois en charge des Allocations familiales, a décidé d’élargir les conditions d’octroi des allocations familiales aux jeunes qui suivent des cours à distance. Jusqu’ici, seuls les jeunes engagés dans des cours ou des formations en présentiel pouvaient bénéficier de ces allocations sous certaines conditions.

Les allocations familiales seront accordées si la formation à distance est donnée au minimum 17 heures par semaine. L’entrée en vigueur de la mesure est prévue pour ce 1er septembre 2023.

« La formation en ligne est possible pour de nombreux secteurs, à commencer par le numérique », précise Bernard Clerfayt.