La parité au sein des collèges échevinaux

Extrait de presse, La Dernière Heure : "De plus en plus de femmes dans la politique locale bruxelloise".

Extrait de l'article publié par la Dernière Heure

[…] Parmi ces élus, les femmes représentent 47 %, selon les données présentées par Brulocalis : 47,5 % des conseillers, 50 % des échevins et 25 % des bourgmestres.

[…] La Région compte cinq “premières citoyennes” pour quatorze “premiers citoyens”. Un déséquilibre qui était encore plus marqué en 2018, à l’instauration des nouveaux collèges […]

[…] Mais en cours de la législature et de la “valse des bourgmestres” , quatre femmes ont pris place dans le siège mayoral : Cécile Jodogne (Défi, et faisant fonction) à Schaerbeek avec la montée au gouvernement de Bernard Clerfayt (Défi), Mariam El Hamidine (Écolo) à Forest après la démission de Stéphane Roberti (Écolo), Sophie de Vos (Défi) à Auderghem pour remplacer Didier Gosuin (Défi) et Claire Vandevivere (Les Engagés) à Jette à la suite du départ à la pension de Hervé Doyen (Les Engagés). Menant à 25 % le nombre de femmes bourgmestres. […]

[…] Notons qu’en matière de parité, Bruxelles fait mieux que les deux autres régions en ce qui concerne les conseillers et les échevins…

[…] La législation venant d’être adaptée, le ministère des Pouvoirs locaux de Bernard Clerfayt ne compte pas réformer davantage les règles, mais assure prévoir “des petites choses” supplémentaires. “On compte asexuer le costume d’échevin et de bourgmestre” , exemplifie la porte-parole du ministre amarante. […]

Les chercheurs d'emploi ukrainiens seront accompagnés par Actiris

5000 chercheurs d'emploi ukrainiens attendus

Extraits de l'article publié par La Capitale

[…] L’agence régionale Actiris a présenté mardi matin, en présence du ministre bruxellois de l’Emploi Bernard Clerfayt (DéFI), son plan d’action pour répondre à l’affluence de personnes venant d’Ukraine qui cherchent un travail. Un guichet spécifique, avec des interprètes, a été ouvert au sein du siège central.

[…] La demande d’emploi ou de formation supplémentaire à Bruxelles est évaluée à 5.000 chercheurs d’emploi, selon les estimations régionales. Bernard Clerfayt s’attend à voir augmenter prochainement le nombre d’exilés ukrainiens poussant les portes d’Actiris, maintenant que beaucoup ont réglé leurs démarches administratives et ont trouvé un logement ainsi qu’une école pour leurs enfants. « Ils tentent de reprendre une vie aussi normale que possible et cela passe aussi par le travail. Actiris a donc rapidement mis en place des actions d’accueil, d’information et d’accompagnement. » […]

Accompagnement des réfugiés ukrainiens chercheurs d'emploi par Actiris

Extrait de presse, L'Echo : "Bruxelles veut faciliter la mise à l'emploi des réfuriés ukrainiens".

Extraits de l'article publié par L'Echo

[…] Pour répondre à ces situations qui se multiplient et faciliter les démarches des Ukrainien(ne)s, l’agence bruxelloise pour l’emploi Actiris a créé un guichet spécifique qui leur est dédié, en présence d’interprètes, en son siège central.

[…] «On ne sait pas combien ces personnes seront dans les semaines à venir, mais il faut anticiper», ramasse le ministre bruxellois de l’Emploi, Bernard Clerfayt (DéFI). «Ce plan est évolutif», précise Cristina Amboldi, directrice générale d’Actiris. […]

Le plan d'action d'Actiris pour les exilés ukrainiens à la recherche d'un emploi

Extrait de presse, La Libre : "Les nombreux défis de la mise à l'emploi des exilés ukrainiens".

Extraits de l'article paru dans La Libre

[…] 328 Ukrainiens se sont inscrits chez Actiris depuis le début du conflit. Un chiffre appelé à croître au fil des semaines, selon les autorités publiques. […]

[…] Les projections maximales évoquent le nombre de 5 000 personnes fuyant les bombes russes qui arriveraient sur le marché de l’emploi bruxellois. “La priorité des familles n’est pas, pour le moment, la recherche d’un emploi et on le comprend facilement. L’urgence est d’abord à la recherche d’un logement, à la scolarisation des enfants, à la reprise de certains repères” , expose le ministre de l’Emploi bruxellois Bernard Clerfayt (Défi), au moment de présenter le plan d’action de l’office de l’emploi.

[…] Cette caractéristique n’est pas sans conséquence sur le marché de l’emploi. “Ceux qui s’attendaient à voir débarquer des milliers d’hommes aux gros bras pour travailler dans la construction seront déçus” , sourit Bernard Clerfayt. Les profils des demandeurs sont toutefois assez variés. […]

Job day d'Infrabel

Infrabel cherche 150 nouveaux collaborateurs à Bruxelles

Extraits de l'article publié par lacapitale.be

L'un des plus gros employeurs de Belgique lance une grande campagne de recrutement. Infrabel cherche 930 nouveaux collaborateurs en 2022 dont 150 à Bruxelles.

[…] « Infrabel se donne les moyens de gagner la guerre des talents qui règne à Bruxelles. Elle offre des emplois de
qualité avec une possibilité d'évolution et un emploi qui a du sens car le rail est le futur », déclare Bernard
Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois de l'Emploi.

[…]

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Intégrer la formation dans le parcours du chercheur d'emploi

Extrait de presse, L'Echo : "Les chercheurs d'emploi bruxellois bientôt obligés de se former".

Extraits de l'article paru dans L'Echo du 29 avril :

À la suite d’une série de séminaires visant à déterminer les priorités pour les deux années à venir, le gouvernement de Rudi Vervoort (PS) a présenté ce jeudi à la presse sa nouvelle feuille de route.

[…] En matière d’emploi, une nouveauté sémantique a toutefois fait son apparition puisqu’il est question de mettre en place, d’ici à la fin de la législature, l’obligation d’un bilan de compétences et d’un parcours de formation choisi et adapté pour les chercheurs d’emploi bruxellois. Interrogé en marge de la conférence de presse, Bernard Clerfayt (DéFI) explique qu’il reviendra, en effet, à Actiris de dresser, pour tous les demandeurs d’emploi un bilan des compétences linguistiques, numériques et professionnelles. Pour rappel, une partie de l’enveloppe obtenue dans le cadre du plan de relance européen servira à développer des modules de test pour objectiver le niveau des demandeurs d’emploi sur base d’un référentiel commun en langues et en numérique.

«Et puis les chercheurs d’emploi qui n’ont pas trouvé de travail après un an seront obligés de choisir une trajectoire d’acquisition de compétences supplémentaires. L’objectif est donc de monter en compétences via une obligation de formation, mais chacun sera totalement libre de choisir dans quel domaine. Par exemple, il n’est pas question de forcer quelqu’un à devenir chauffeur poids lourd sous prétexte qu’il y a une pénurie. Mais on ne pourra pas non plus se contenter d’attendre que le travail arrive tout seul», résume le ministre régional de l’Emploi et de la Formation.

Et Bernard Clerfayt d’insister sur le fait qu’il ne s’agit donc pas de sanctionner les chômeurs qui refusent un métier en pénurie, comme l’avait proposé de façon «provocatrice» le président du MR Georges-Louis Bouchez. «Si je caricature le débat politique: certains, à gauche, pensent que les chômeurs sont des victimes et d’autres, à droite, que ce sont des feignasses qui n’ont qu’à traverser la rue pour trouver du boulot. Or, même s’il peut y avoir un peu des deux, ce n’est jamais aussi caricatural. Bien sûr qu’il y a des gens compétents qui ne trouvent pas d’emploi parce qu’il n’y en a pas assez. Mais dans un marché de l’emploi concurrentiel comme à Bruxelles, il faut aussi parfois faire un effort et se former pour gagner la guerre des talents.»

À ce stade, aucun régime de sanction n’est toutefois défini pour les demandeurs d’emploi qui refuseraient de se former. «Cela pourra toujours être intégré dans le processus de sanction de disponibilité à l’emploi. Mais je ne veux pas insister sur le fait que l’on va sanctionner les chômeurs, je veux expliquer que c’est dans leur intérêt de se former, que ce soit l’apprentissage d’une langue, du numérique ou de la réorientation dans une nouvelle filière. La possibilité de reprendre des études pour un métier en pénurie en conservant l’allocation chômage reste un mécanisme trop peu utilisé», déplore le ministre amarante.
Pour inciter les Bruxellois à s’accrocher dans un parcours de formation de longue durée, le revenu de formation sera porté à 3€/heure pour les métiers en pénurie. «Un accord avec le Fédéral pour défiscaliser cette indemnité de formation permettra de garantir aux chercheurs d’emploi son plein usage.»

[…]

Quelles implications pour les communes en retard avec leur budget ?

Extrait de presse, La Dernière Heure : "Pas de budget, pas de panique, mais pas d'investissements"

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure :

Nous avons interrogé le cabinet de Bernard Clerfayt, en charge des Pouvoirs locaux, pour comprendre ce que les retards de budget peuvent impliquer pour les communes et leurs habitants.

[…] “Par exemple, si une commune veut ouvrir une crèche, elle ne peut pas, cela dépend de l’investissement”, explique le cabinet du ministre. Pour le moment, neuf communes n’ont pas transmis leur budget à la Région : Anderlecht, Ganshoren, Saint-Gilles, Saint-Josse, Etterbeek, Bruxelles, Forest, Ixelles et Boitsfort. Certaines ont déjà voté, comme les comme dernières, et doivent juste le transmettre à la tutelle.

Une fois transmis, l’autorité de tutelle a 40 jours pour mettre des recommandations “On regarde surtout les prévisions de recette pour voir si une taxe n’est pas surestimée ou sous-estimée, on émet des recommandations et, si elles ne sont pas appliquées, on peut refuser le budget et la commune doit tout recommencer. C’est très rare.”

[…] Dans les faits, 10 des 19 communes bruxelloises sont suivies par un inspecteur régional : Berchem, Ganshoren, Molenbeek, Anderlecht, Evere, Schaerbeek, Saint-Gilles, Watermael Boitsfort et Etterbeek. “ Ces communes ont eu des difficultés. Puisqu’elles ne peuvent pas rendre un budget en déficit, elles sollicitent l’aide de la Région. Un prêt leur est alors alloué, prêt qu’elles ne doivent pas rembourser, mais qui est conditionné au suivi des comptes de la commune par un inspecteur régional. Celui-ci émet des recommandations a priori.” Le budget est ensuite voté en conseil et passe par la même phase d’analyse a posteriori que pour les autres.

[…]

 

Critères discriminants pour l'engagement

Extrait de presse, La Libre : "Des balayeurs affirment être poussés à déménager à Bruxelles pour être engagés"

Extrait de l'article publié par La Libre

[…]  Ils m’ont tous dit : ‘Non, tu habites Schaerbeek, la priorité, c’est ceux qui habitent 1000 Bruxelles’. L’un m’a dit : tu n’as pas droit au contrat. Et il m’a conseillé de déménager.

[…] “Il est interdit de mettre en place des quotas ou de se baser sur le lieu de résidence pour l’engagement”, confirme la porte-parole de Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois des Pouvoirs locaux, sans se prononcer sur le cas concret de Bruxelles. “ Préciser dans une offre d’emploi qu’on recrute une personne résidant dans une telle commune est illégal et discriminatoire. Si une personne estime qu’elle n’est pas engagée car elle n’habite pas dans la commune qui propose le poste, elle peut déposer plainte. On pourrait ensuite procéder à un test de discrimination et poursuivre devant les tribunaux compétents.” […]

Allocations familiales pour les familles ukrainiennes

Extrait de presse, La Dernière Heure : "Les Ukrainiens percevront des allocations familiales".

Extrait de l'article paru dans la Dernière Heure

Sur proposition de Bernard Clerfayt et Sven Gatz, ministres bruxellois des Allocations familiales, le
gouvernement bruxellois a débloqué 27,5 millions pour permettre aux enfants réfugiés d’Ukraine de percevoir des allocations familiales.

En Région bruxelloise, l’accès aux allocations familiales sera possible pour chaque parent ukrainien. Afin d’ouvrir ce droit, l’enfant devra être inscrit au Registre National et être domicilié en région bruxelloise.

[…] « La majorité des familles ukrainiennes bénéficiant de la protection provisoire est composée de femmes et d’enfants. Dans ce cadre, les allocations familiales, qui sont un droit inconditionnel, constituent le meilleur outil de lutte contre la pauvreté infantile. Garantir l’octroi de ces allocations pour les enfants réfugiés, c’est leur permettre de reprendre une vie un peu plus digne en Région bruxelloise », rappelle Bernard Clerfayt. […]

Le ministre Bernard Clerfayt invité du magazine d'actualité +d'Actu

Logo de +d'Actu, le magazine d'actualité de BX1

Lors de l’émission +d’Actu de BX1+ du 22 avril 2022, le ministre Bernard Clerfayt a répondu à plusieurs questions d’actualité. Voici un compte-rendu de ses réponses relatives à ses matières de compétence.

40.000 nouveaux emplois créés en 2021 d’après Actiris. Il n’y a pas eu d’effets de la crise du Covid ?

La crise du Covid a ralenti la baisse du chômage. Depuis quelques années nous avons une forte baisse du chômage […]. L’État fédéral et la Région ont dépensé beaucoup pour maintenir les entreprises fragilisées et les emplois. Ce soutien à l’activité économique crée aujourd’hui une activité économique croissante.

À Bruxelles on a des emplois mais ce ne sont pas les Bruxellois qui en profitent. Va-t-on pouvoir corriger cela ?

On a 760.000 emplois sur le territoire de la Région mais seulement la moitié sont occupés par les Bruxellois. Il y a une guerre des talents à Bruxelles. Beaucoup de navetteurs viennent postuler pour les emplois et les Bruxellois n’ont pas toujours les compétences requises pour accéder aux emplois. On a un vrai enjeu de montée en compétence, des compétences qui seront nécessaires pour les emplois de demain.

Peut-on donner du travail aux sans-papiers ?

La loi telle et la répartition des compétences entre l’État fédéral et la Région sont telles que la Région peut donner un donner un permis de travail pour un travailleur qui vient de l’étranger s’il a des compétences que l’on ne trouve pas en Région bruxelloise et qui sont essentielles pour une entreprise. Nous le faisons en accordant des milliers de permis de travail chaque année. Mais c’est l’État fédéral qui a gardé la compétence d’accorder l’accès au territoire.

Qu’en est-il des entreprises de titres-services qui demandent des suppléments au motif de l’augmentation des frais de transport ?

L’entreprise a le droit de demander des frais à ses clients, mais le client a le droit de changer d’agence dès qu’il estime que le service est trop cher. Il y en plus de 200 actives en Région bruxelloise.

À propos des titres-services, vous aviez annoncé travailler à une réforme. Où en est-on ?

Le gouvernement a approuvé une note qui encadre ce projet de réforme. Nous l’avons soumise aux partenaires sociaux et j’espère avoir une réponse au courant du mois de mai.

Le titre service coûtera 10 euros au lieu de 9 euros ?

Nous remboursons le titre-service 24 euros à l’entreprise qui paye le salaire. Chaque année cette intervention est indexée alors que l’usager paye toujours 9 euros. L’usager qui paye 9 euros reçoit un service d’une valeur de 15 euros supplémentaires. J’espère que la décision de cette réforme se fera avant l’été.

À propos de l’abattage rituel, n’y a-t-il pas un déni des autres méthodes d’abattages plus cruelles encore ?

Actuellement l’étourdissement est imposé pour tout abattage en Région bruxelloise, sauf pour raisons religieuses. Le débat est de savoir s’il convient ou pas de supprimer cette exception. La Région wallonne l’a fait et tous les partis politiques, PS, MR, CdH, Écolo, ont voté, idem pour les partis de la majorité en Flandre. Aujourd’hui la question se pose à Bruxelles. Cette question sera débattue au parlement et je voudrais que le parlement écoute toutes les parties concernées pour que les parlementaires, en âme et conscience, puissent choisir. Cette question n’est plus dans les mains du gouvernement. Je peux avoir un avis en tant que ministre du Bien-être animal et vous dire que le Conseil du Bien-être animal a émis un avis très clair sur cette question.