Convention de coopération avec la Défense

Extrait de presse, Le Soir : «Emploi et formation : la Défense, Actirs et Bruxelles Formation vont collaborer»

Extrait de l'article publié par Le Soir

La ministre de la Défense, Ludivine Dedonder, le ministre-président bruxellois, Rudi Vervoort, et le ministre
régional de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Bernard Clerfayt, ont signé une convention de
coopération entre la Défense, Actiris et Bruxelles Formation qui vise à promouvoir la coopération entre les
institutions publiques dans le domaine du travail et de l’emploi.

Décumul des mandats en Région bruxelloise

Extrait de presse, La Capitale : "Décumul intégral : il faudra choisir en 2024".

Extraits de l'article publié par La Capitale:

[…] La commission des Affaires Intérieures du parlement bruxellois a entamé mardi matin l’examen du projet d’ordonnance visant à améliorer la gouvernance locale. Selon ce projet présenté mardi par le ministre des Pouvoirs locaux, Bernard Clerfayt (DéFI), le décumul intégral entre un mandat exécutif local et un mandat parlementaire sera effectif dès 2024 comme prévu dans l’accord de gouvernement. […]

La qualification des chercheurs d'emploi

Extrait de presse, Moustique : "Retour au travail ou au point de départ ?"

Extraits de l'article proposé par Moustique

La Wallonie et Bruxelles ont fait de l’activation des demandeurs d’emploi une priorité. La stratégie repose avant
tout sur des cycles de formation.

[…] Pauline Lorbat est la porte-parole du ministre bruxellois chargé de l’emploi, Bernard Clerfayt. Celui-ci vient d’annoncer un nouveau plan obligeant les chercheurs d’emploi de la Région Bruxelles-Capitale à se former. “Ce plan répond à la réalité qu’en Région bruxelloise, il y a des emplois mais un problème de compétences. À Bruxelles, 64% des postes de travail réclament des compétences spécifiques mais, parallèlement, 60% des demandeurs d’emploi ont au maximum un diplôme du secondaire. Il y a donc un déphasage entre les exigences des employeurs et la compétence des demandeurs d’emploi. La solution c’est que ceux-ci montent en gamme dans leur niveau de connaissances. L’objectif du plan est de permettre en particulier à ceux et celles qui sont plus éloignés du marché du travail (qui ont passé plus d’un an au chômage) de bénéficier d’un parcours de formation. Il ne s’agit pas d’obliger quelqu’un à suivre une formation précise, mais de l’obliger à se former à un métier qu’il veut exercer.” […]

Vers la décumul total des mandats

Extrait de presse, La Libre : "Bruxelles vers le décumul total et des élus locaux mieux payés".

Extrait de l'article publié par La Libre :

Le projet d’ordonnance “décumul” du ministre bruxellois des Pouvoirs locaux, Bernard Clerfayt (Défi), arrive ce mardi en commission de l’Intérieur du Parlement bruxellois. La réforme place le curseur plus loin qu’aucun Parlement. La majorité bruxelloise veut interdire le cumul entre un mandat d’échevin ou de bourgmestre et un siège au Parlement bruxellois, fédéral, flamand ou européen.

La parité au sein des collèges échevinaux

Extrait de presse, La Dernière Heure : "De plus en plus de femmes dans la politique locale bruxelloise".

Extrait de l'article publié par la Dernière Heure

[…] Parmi ces élus, les femmes représentent 47 %, selon les données présentées par Brulocalis : 47,5 % des conseillers, 50 % des échevins et 25 % des bourgmestres.

[…] La Région compte cinq “premières citoyennes” pour quatorze “premiers citoyens”. Un déséquilibre qui était encore plus marqué en 2018, à l’instauration des nouveaux collèges […]

[…] Mais en cours de la législature et de la “valse des bourgmestres” , quatre femmes ont pris place dans le siège mayoral : Cécile Jodogne (Défi, et faisant fonction) à Schaerbeek avec la montée au gouvernement de Bernard Clerfayt (Défi), Mariam El Hamidine (Écolo) à Forest après la démission de Stéphane Roberti (Écolo), Sophie de Vos (Défi) à Auderghem pour remplacer Didier Gosuin (Défi) et Claire Vandevivere (Les Engagés) à Jette à la suite du départ à la pension de Hervé Doyen (Les Engagés). Menant à 25 % le nombre de femmes bourgmestres. […]

[…] Notons qu’en matière de parité, Bruxelles fait mieux que les deux autres régions en ce qui concerne les conseillers et les échevins…

[…] La législation venant d’être adaptée, le ministère des Pouvoirs locaux de Bernard Clerfayt ne compte pas réformer davantage les règles, mais assure prévoir “des petites choses” supplémentaires. “On compte asexuer le costume d’échevin et de bourgmestre” , exemplifie la porte-parole du ministre amarante. […]

Les chercheurs d'emploi ukrainiens seront accompagnés par Actiris

5000 chercheurs d'emploi ukrainiens attendus

Extraits de l'article publié par La Capitale

[…] L’agence régionale Actiris a présenté mardi matin, en présence du ministre bruxellois de l’Emploi Bernard Clerfayt (DéFI), son plan d’action pour répondre à l’affluence de personnes venant d’Ukraine qui cherchent un travail. Un guichet spécifique, avec des interprètes, a été ouvert au sein du siège central.

[…] La demande d’emploi ou de formation supplémentaire à Bruxelles est évaluée à 5.000 chercheurs d’emploi, selon les estimations régionales. Bernard Clerfayt s’attend à voir augmenter prochainement le nombre d’exilés ukrainiens poussant les portes d’Actiris, maintenant que beaucoup ont réglé leurs démarches administratives et ont trouvé un logement ainsi qu’une école pour leurs enfants. « Ils tentent de reprendre une vie aussi normale que possible et cela passe aussi par le travail. Actiris a donc rapidement mis en place des actions d’accueil, d’information et d’accompagnement. » […]

Accompagnement des réfugiés ukrainiens chercheurs d'emploi par Actiris

Extrait de presse, L'Echo : "Bruxelles veut faciliter la mise à l'emploi des réfuriés ukrainiens".

Extraits de l'article publié par L'Echo

[…] Pour répondre à ces situations qui se multiplient et faciliter les démarches des Ukrainien(ne)s, l’agence bruxelloise pour l’emploi Actiris a créé un guichet spécifique qui leur est dédié, en présence d’interprètes, en son siège central.

[…] «On ne sait pas combien ces personnes seront dans les semaines à venir, mais il faut anticiper», ramasse le ministre bruxellois de l’Emploi, Bernard Clerfayt (DéFI). «Ce plan est évolutif», précise Cristina Amboldi, directrice générale d’Actiris. […]

Le plan d'action d'Actiris pour les exilés ukrainiens à la recherche d'un emploi

Extrait de presse, La Libre : "Les nombreux défis de la mise à l'emploi des exilés ukrainiens".

Extraits de l'article paru dans La Libre

[…] 328 Ukrainiens se sont inscrits chez Actiris depuis le début du conflit. Un chiffre appelé à croître au fil des semaines, selon les autorités publiques. […]

[…] Les projections maximales évoquent le nombre de 5 000 personnes fuyant les bombes russes qui arriveraient sur le marché de l’emploi bruxellois. “La priorité des familles n’est pas, pour le moment, la recherche d’un emploi et on le comprend facilement. L’urgence est d’abord à la recherche d’un logement, à la scolarisation des enfants, à la reprise de certains repères” , expose le ministre de l’Emploi bruxellois Bernard Clerfayt (Défi), au moment de présenter le plan d’action de l’office de l’emploi.

[…] Cette caractéristique n’est pas sans conséquence sur le marché de l’emploi. “Ceux qui s’attendaient à voir débarquer des milliers d’hommes aux gros bras pour travailler dans la construction seront déçus” , sourit Bernard Clerfayt. Les profils des demandeurs sont toutefois assez variés. […]

Job day d'Infrabel

Infrabel cherche 150 nouveaux collaborateurs à Bruxelles

Extraits de l'article publié par lacapitale.be

L'un des plus gros employeurs de Belgique lance une grande campagne de recrutement. Infrabel cherche 930 nouveaux collaborateurs en 2022 dont 150 à Bruxelles.

[…] « Infrabel se donne les moyens de gagner la guerre des talents qui règne à Bruxelles. Elle offre des emplois de
qualité avec une possibilité d'évolution et un emploi qui a du sens car le rail est le futur », déclare Bernard
Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois de l'Emploi.

[…]

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Intégrer la formation dans le parcours du chercheur d'emploi

Extrait de presse, L'Echo : "Les chercheurs d'emploi bruxellois bientôt obligés de se former".

Extraits de l'article paru dans L'Echo du 29 avril :

À la suite d’une série de séminaires visant à déterminer les priorités pour les deux années à venir, le gouvernement de Rudi Vervoort (PS) a présenté ce jeudi à la presse sa nouvelle feuille de route.

[…] En matière d’emploi, une nouveauté sémantique a toutefois fait son apparition puisqu’il est question de mettre en place, d’ici à la fin de la législature, l’obligation d’un bilan de compétences et d’un parcours de formation choisi et adapté pour les chercheurs d’emploi bruxellois. Interrogé en marge de la conférence de presse, Bernard Clerfayt (DéFI) explique qu’il reviendra, en effet, à Actiris de dresser, pour tous les demandeurs d’emploi un bilan des compétences linguistiques, numériques et professionnelles. Pour rappel, une partie de l’enveloppe obtenue dans le cadre du plan de relance européen servira à développer des modules de test pour objectiver le niveau des demandeurs d’emploi sur base d’un référentiel commun en langues et en numérique.

«Et puis les chercheurs d’emploi qui n’ont pas trouvé de travail après un an seront obligés de choisir une trajectoire d’acquisition de compétences supplémentaires. L’objectif est donc de monter en compétences via une obligation de formation, mais chacun sera totalement libre de choisir dans quel domaine. Par exemple, il n’est pas question de forcer quelqu’un à devenir chauffeur poids lourd sous prétexte qu’il y a une pénurie. Mais on ne pourra pas non plus se contenter d’attendre que le travail arrive tout seul», résume le ministre régional de l’Emploi et de la Formation.

Et Bernard Clerfayt d’insister sur le fait qu’il ne s’agit donc pas de sanctionner les chômeurs qui refusent un métier en pénurie, comme l’avait proposé de façon «provocatrice» le président du MR Georges-Louis Bouchez. «Si je caricature le débat politique: certains, à gauche, pensent que les chômeurs sont des victimes et d’autres, à droite, que ce sont des feignasses qui n’ont qu’à traverser la rue pour trouver du boulot. Or, même s’il peut y avoir un peu des deux, ce n’est jamais aussi caricatural. Bien sûr qu’il y a des gens compétents qui ne trouvent pas d’emploi parce qu’il n’y en a pas assez. Mais dans un marché de l’emploi concurrentiel comme à Bruxelles, il faut aussi parfois faire un effort et se former pour gagner la guerre des talents.»

À ce stade, aucun régime de sanction n’est toutefois défini pour les demandeurs d’emploi qui refuseraient de se former. «Cela pourra toujours être intégré dans le processus de sanction de disponibilité à l’emploi. Mais je ne veux pas insister sur le fait que l’on va sanctionner les chômeurs, je veux expliquer que c’est dans leur intérêt de se former, que ce soit l’apprentissage d’une langue, du numérique ou de la réorientation dans une nouvelle filière. La possibilité de reprendre des études pour un métier en pénurie en conservant l’allocation chômage reste un mécanisme trop peu utilisé», déplore le ministre amarante.
Pour inciter les Bruxellois à s’accrocher dans un parcours de formation de longue durée, le revenu de formation sera porté à 3€/heure pour les métiers en pénurie. «Un accord avec le Fédéral pour défiscaliser cette indemnité de formation permettra de garantir aux chercheurs d’emploi son plein usage.»

[…]