120 jeunes bruxellois pourront s’engager dans un service citoyen

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Jeunes en conversation dans le cadre du service citoyen

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, le gouvernement bruxellois a approuvé l’octroi d’un subside de 400.000 € à la plateforme pour le service citoyen. Résultat : 120 jeunes pourront s’engager dans des projets utiles à la collectivité en 2022.

Le service citoyen, un tremplin pour 75% des jeunes

Grâce au service citoyen, les jeunes ont la possibilité d’accomplir durant 6 mois, des projets solidaires.  Durant cette expérience de vie, le jeune renforce ses compétences professionnelles mais aussi comportementales. Il est confronté au monde du travail et acquiert certaines compétences indispensables à l’intégration sur le marché de l’emploi : motivation, sens du travail, etc.  Le but : se confronter au réel, expérimenter et pourquoi pas, se trouver une voie.

« Le service citoyen est un formidable outil pour aider et guider des jeunes en perte de sens. Si ce n’est pas l’objectif premier du dispositif, 75% des jeunes qui sortent du service citoyen reprennent des études ou trouvent un travail. Comme quoi, passer du service citoyen à l’emploi, c’est possible ! Mais surtout, c’est important pour augmenter le nombre de Bruxellois à l’emploi », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Et les témoignages de jeunes ayant intégré le service citoyen abondent dans ce sens.

Comprendre, accomplir, c’est bon pour le moral

« J’avais comme objectif de me créer un réseau, m’intégrer, mieux comprendre la société belge, améliorer mon néerlandais. J’ai atteint tous ces objectifs. Et en plus de ça, j’ai trouvé ma voie et un boulot », explique Abdul.

Même son de cloche du côté de Chadi : « Je n’ai pas eu de révélation ou de réorientation de carrière. Mais ça m’a bien dérouillé, après l’école où on reste les fesses posées sur sa chaise toute la journée. Ça fait du bien de passer à quelque chose de concret pendant six mois, d’accomplir quelque chose. C’était bon pour le moral. »

Engagement citoyen

« Les hommes ne naissent pas citoyens, ils le deviennent ».  Déjà à l’époque, Spinoza insistait sur l’importance d’éduquer les plus jeunes à la citoyenneté. Aujourd’hui, le service citoyen contribue à sensibiliser les jeunes, âgés de 18 à 25 ans, à l’importance de s’engager des services utiles à la collectivité.

Emplois dans le transport et la logistique

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Offres d'emploi dans le transport et la logistique

Depuis le début de l'année 2021 le secteur connaît un fort regain d'activité avec une hausse de 318% des offres d'emploi. Plus de 2.000 offres d'emploi pour le métier de chauffeurs de poids lourds ont été enregistrées cette année.

La Région Bruxelles-Capitale compte en moyenne 10.000 demandeurs d'emploi par mois pour le secteur du transport et de la logistique. Ces chiffres sont restés stables pendant la crise. En 2021, view.brussels note une augmentation de 1,2% des demandeurs d'emploi dans le secteur par rapport à 2019.

Le transport et la logistique, un secteur très important pour Bruxelles

Avant la crise, le secteur représentait près de 30.000 postes de travail salarié à Bruxelles et dans sa périphérie. Dans cette zone, il affichait aussi une croissance annuelle moyenne de l'emploi de 2%. Celle-ci s'élevait même à 4,1% pour Bruxelles uniquement. Le secteur était donc très dynamique et représentait un potentiel certain pour les travailleurs moyennement et faiblement qualifiés ainsi que de nombreuses opportunités pour les personnes d'origines étrangères (hors-UE) qui représentent actuellement 59% des travailleurs du secteur à Bruxelles.

Certaines activités du Transport et de la Logistique durement touchées durant la crise

En fonction de la nature des activités exercées, la crise a affecté de manière différente le secteur du Transport et de la Logistique. L'aéroport de Zaventem, les autobus privés ainsi que les autocars notamment ont subi les mesures de confinement et les restrictions sanitaires mises en place pour contrer le coronavirus. […]

Au contraire, d'autres segments comme le transport aérien de fret ou les activités de livraisons de colis ont connu un surplus d'activité soutenu notamment par l'augmentation des achats en ligne.

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La garantie solution employeurs

Extrait de presse
Actiris: à Bruxelles, il faut ériger Actiris en compagnon de choix pour les entreprises

Extrait de l'article publié par Le Soir+

[…] A Bruxelles, l'un des chantiers en cours en matière de formation et d'emploi concerne les services d'Actiris . Son nom ? La « garantie solution employeurs ». Cette dernière part d'un constat : si les demandeurs d'emploi bruxellois doivent s'inscrire auprès de l'opérateur bruxellois de l'emploi, il n'en est rien pour les employeurs. Résultat : certaines offres d'emploi échappent au radar d'Actiris.
« En 2019, Actiris a reçu 35.063 offres d'emploi. Or, on sait qu'environ 100.000 contrats sont signés chaque année en région bruxelloise », précise Bernard Clerfayt, ministre bruxellois de l'Emploi. « Cela signifie qu'Actiris ne traite pas toutes les offres d'emploi existantes et qu'un travail doit être effectué à ce niveau. L'accent a été mis avec succès sur les demandeurs d'emploi pendant des années, maintenant il doit l'être sur les employeurs ».
La situation actuelle du marché de l'emploi constitue en ce sens une occasion à saisir. Les pénuries de main-d'œuvre sont importantes et représentent pour l'organisme bruxellois de l'emploi l'opportunité de s'ériger en compagnon de choix pour les entreprises en recherche de talents. « L'idée est qu'Actiris renforce sa relation avec les entreprises. Il nous revient souvent sur le terrain que ses services ne correspondent pas toujours aux attentes des employeurs », confie Bernard Clerfayt. « Il est indispensable de travailler main dans la main avec eux pour améliorer le matching . Si Actiris ne possède pas l'oiseau rare parmi ses demandeurs d'emploi, il peut négocier une mise à niveau des compétences, établir un chemin avec l'employeur grâce auquel un profil pourrait, endéans un délai raisonnable, répondre à ses besoins. »
Une formule qui a fait ses preuves
Cette « garantie solution employeurs » n'en est pour l'heure qu'à ses débuts, mais une grande enquête a été lancée par Actiris auprès de l'ensemble des secteurs professionnels bruxellois pour recueillir leurs attentes concrètes.
Cette initiative fait suite à l'opération « garantie solution jeune », instaurée en 2014 par le gouvernement bruxellois. Pour rappel, celle-ci offrait la possibilité aux moins de 25 ans de bénéficier d'un bilan de compétences auprès d'Actiris et de se voir aiguiller vers une solution : un emploi, un stage, une reprise d'études, une formation ou une validation de compétences. Cette garantie avait rencontré un franc succès.
« Les chiffres parlent d'eux-mêmes », insiste Bernard Clerfayt. « Entre 2013 et 2017, Bruxelles avait enregistré la plus forte diminution du taux de chômage des jeunes en passant de 33,6 % à 24,4 %. A titre de comparaison, Anvers était passé de 27,9 % à 26,3 %, Gand de 25,5 % à 23,6 %, Charleroi de 48 % à 40,5 % et Liège de 45,5 %à 41,8 %. »
Fort de cette réussite encourageante, l'opération avait été élargie par la suite à l'ensemble des demandeurs d'emploi primo-inscrits. Elle s'adressera désormais, d'ici quelques mois, aux employeurs, avec l'espoir d'une issue aussi positive. […]

Semaine de l'emploi organisée par Références

Extrait de presse
Emploi et formation en ligne

Extrait d'un article publié par Métro

Le média emploi du groupe Rossel Références organise, du 22 au 26 novembre, une semaine de l’emploi et de la formation à Bruxelles, a-t-il annoncé hier. L’événement est soutenu par les ministres bruxellois Bernard Clerfayt et wallonne Christie Morreale. […]

Postes vaccants au Job Day

Extrait de presse
Le Job Day a attiré 500 demandeurs d'emploi

Extrait de l'article publié par La Capitale

Le Job Day de a attiré 500 demandeurs d’emploi !

Au fil des éditions, cet événement initié par l’échevin de l’Emploi Eric Bott, et auquel a également assisté le Ministre Bernard Clerfayt, s’est érigé comme un passage incontournable pour les demandeurs d’emploi.

Vingt-deux employeurs, qui présentaient un panel de quasiment 200 postes vacants, ont ainsi pu rencontrer les visiteurs.

Emploi : coopération entre Bruxelles et la Flandre

Extrait de presse
Bientôt un cadre renforcé pour la mobilité de l'emploi entre Bruxelles et la Frandre

Extraits de l'article publié par Trends

Le parlement bruxellois a donné mercredi son feu vert, à l'unanimité, à l'accord de coopération entre la Région-capitale, les institutions flamandes et la Communauté germanophone destiné à promouvoir la mobilité des demandeurs d'emploi.

[…] Selon le ministre bruxellois de l'Emploi, Bernard Clerfayt (DéFI), en 2019, 57.000 Bruxellois traversaient chaque matin les frontières bruxelloises pour travailler en Flandre. Un chiffre qui n'a jamais été aussi élevé puisqu'en 2010, ils étaient 43.000, soit 30% de plus en 10 ans. Néanmoins, ce nombre peut encore augmenter.

Or, le marché de l'emploi bruxellois et flamand sont confrontés à des besoins complémentaires: 66% des postes vacants se situent en Flandre et "Bruxelles dispose d'un vivier important de travailleurs - on compte en Région bruxelloise près de 90.000 chercheurs d'emploi", a souligné M. Clerfayt en marge du débat au parlement régional.

Lire cet article sur le site de Tends Tendances

Les offres d'emploi du secteur de la construction

Extrait de presse
Actiris et le Forem doivent séduire les patrons de la construction

Extraits de l'article paru dans L'Écho

Le secteur de la construction manque cruellement de bras. Les entrepreneurs se tournent trop rarement vers les organismes de placement, qui tentent de se rapprocher du secteur.

[…] Pourquoi alors si peu d’offres arrivent-elles dans les organismes de placement? Le ministre de tutelle bruxellois, Bernard Clerfayt, avait déjà pointé le problème du doigt dans nos colonnes, regrettant que malgré les besoins, peu d’offres arrivent jusque sur la table des agents d’Actiris. Pourtant, les candidats ne manquent pas. Chez Actiris, en octobre, 4.711 demandeurs d’emploi inoccupés étaient inscrits dans le listing «construction». Le Forem signale de son côté que 1.400 demandeurs d’emploi correspondaient aux profils demandés pour les huit «super-jobsdays» dédiés à la construction réalisés début octobre.