Un test pour la 5G en Région bruxelloise

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La 5G, un enjeu stratégique pour la Région bruxelloise

La proposition du Ministre de l'Emploi et de la Transition numérique Bernard Clerfayt est claire : pour objectiver les effets de la 5G, rien de tel que de tester cette technologie dans une zone limitée, et de mesurer les émissions d’ondes.

Le Ministre propose aussi de mesurer globalement les émissions et non de plus celle de chaque installation isolément.

Lors de cette interview, Bernard Clerfayt rappelle le contexte européen « La Commission a décidé que la 5G faisait partie de notre projet de développement économique et social en Europe et invite chaque pays à désigner une ville pilote. Je veux que Bruxelles soit la première ville belge à tester la 5G. On doit donc avancer».

Il est crucial que la Région de Bruxelles-Capitale soit prête. « Si tout le monde reconnaît que la 5G est stratégique pour Bruxelles, il faut se préparer. Mais il ne s’agit pas de prendre des risques pour la santé. »

Évoquant les zones éligibles pour ce type de test, le Ministre de la Transition numérique cite le centre touristique de Bruxelles, un campus universitaire, une zone de développement économique avec une forte densité d’échanges de data.

Le Ministre reconnaît qu’il est impossible, à l’heure d’aujourd’hui, de fixer des délais précis, en raison notamment des obstacles liés à l’absence de gouvernement fédéral de plein exercice. Il veut cependant une stratégie bruxelloise très rapidement : « J’exhorte mes partenaires à mettre Bruxelles en position pour être la ville qui développera la première la 5G ».

L'interview de Bernard Clerfayt à propos de la 5G sur BX1+ :

Bernard Clerfayt au micro de BX1

Pour endiguer la fraude aux titres services :

Extrait de presse
Une carte d'identité électronique contre les fraudes

Extrait de l'article de La Libre

Bernard Clerfayt (Défi) a annoncé qu’une analyse a été demandée à Sodexo pour proposer des mécanismes de vérification des utilisateurs. “Une possibilité est d’obliger l’inscription via une carte d’identité électronique (ou mécanisme équivalent) et de réitérer cette vérification à intervalles réguliers.” Cette piste doit cependant encore être évaluée afin de ne pas être trop invasive. “Nous devons trouver les moyens d’endiguer ces cas de fraude tout en restant accessible à toutes et tous.

Bernard Clerfayt a profité de la commission pour apporter plus de précisions quant à la réforme des titres-services
prévue pour le printemps prochain. Alors que les Bruxellois.es continuent à acheter de plus en plus de titres-services, la réforme devra permettre de maîtriser le budget du gouvernement, tout en maintenant le nombre d’emplois. Trois pistes sont actuellement à l’étude : une augmentation du prix des titres-services, une réduction du nombre de titres-services et une adaptation de la déduction fiscale. La réforme menée sera une modification soit de l’une de ces pistes soit de plusieurs d’entre elles.

 

 

Nous utilisons toujours plus les Titres-services

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Les titres-services toujours plus utilisés en Région de Bruxelles-Capitale

En 2019, les Bruxellois ont acheté 16.604.324 titres-services. C’est 360.000 de plus qu’en 2018 ! Appréciés par les ménages bruxellois, ces services sont proposés à travers un dispositif qui emploie 25.000 personnes.

Pour le Ministre bruxellois de l’Emploi Bernard Clerfayt il est impératif d’assurer la pérennité des titres-services en contrôlant l’évolution des coûts :  « Au printemps 2020, le Gouvernement bruxellois adoptera une réforme des titres-services. En effet, le budget alloué à ce dispositif ne cesse d’augmenter passant de 206 millions en 2015 à 226 millions en 2020. Et l’engouement pour les titres-services n’est pas près de s’amenuiser. C’est pourquoi, la réforme devra permettre de maîtriser le budget de cette mesure tout en maintenant le nombre d’emplois. Elle devra aussi contribuer à améliorer les conditions de travail des aide-ménagères ».

Record d’utilisation des titres-services en 2019 en Région bruxelloise

Communiqué de presse

Bruxelles, 20 janvier 2020 - Sur l’ensemble de l’année 2019, les Bruxellois ont acheté un total de 16.604.324 titres-services. C’est 360.000 de plus qu’en 2018. Les Bruxellois continuent donc d’acheter et de consommer de plus en plus de titres-services.  

Dans le cadre de la 6e réforme de l’État, la Région bruxelloise a hérité de la politique des titres-services. Depuis, les Bruxellois utilisent toujours plus ce dispositif qui emploie près de 25.000 personnes à Bruxelles. 

En 2019, 16.604.324 titres-services ont été achetés par les foyers bruxellois, une augmentation de 2% par rapport à 2018. Quant aux titres-services remboursés, ceux qui ont été effectivement utilisés par les Bruxellois, leur nombre augmente également. 15.945.875 titres-services ont été utilisés en 2018 contre 16.474.625 en 2019.

 « Au printemps 2020, le gouvernement bruxellois adoptera une réforme des titres-services. En effet, le budget alloué à ce dispositif ne cesse d’augmenter passant de 206 millions en 2015 à 226 millions en 2020. Et l’engouement pour les titres-services n’est pas près de s’amenuiser. C’est pourquoi, la réforme devra permettre de maîtriser le budget de cette mesure tout en maintenant le nombre d’emplois. Elle devra aussi contribuer à améliorer les conditions de travail des aide-ménagères », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

La courbe du taux de chômage continue de fléchir

Extrait de presse

Extraits de l'article publié par La Libre

[…] Les statistiques annuelles de l’Office régional de l’emploi révèlent qu’en cinq ans, le chômage global a baissé de plus de 20 % en Région bruxelloise.

[…] “Depuis 2014 la courbe du taux de chômage en Région bruxelloise continue de fléchir, les chiffres de 2019 le confirment”, se réjouit Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle.

Bruxelles, «futur bassin d’emploi du pays»

Extrait de presse

Extraits de l'article publié dans Le Soir

Le taux de remplacement de la population active de la Région sera le seul du pays à être positif. Mais pour capter les nouveaux emplois créés dans et en dehors de Bruxelles-Capitale, il faudra se former, insiste Bernard Clerfayt.

[…] « Malgré le boom démographique et l’augmentation de la population active, la baisse du chômage continue », souligne Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation.

[…] « Bruxelles va devenir le bassin d’emploi des deux autres Régions », se félicite le ministre. L’inversion de la tendance se fait déjà sentir : désormais, les Bruxellois occupent plus de la moitié (51,6 %) des emplois régionaux. Et entre 2008 et 2018, le nombre de postes de travail a progressé de 8 % à Bruxelles, cette croissance profitant surtout aux Bruxellois (+16 %) plutôt qu’aux navetteurs (+0,8 %), explique-t-il. « Il faut donc faire en sorte que nos concitoyens soient davantage capables de capter les emplois qui se créent », poursuit Bernard Clerfayt en signalant que quelque 75.000 Bruxellois travaillent en Wallonie (24.000) et en Flandre (51.000).

[…] Face à cette flexibilité accrue du marché du travail, le ministre insiste : une solution consiste à mieux former les demandeurs d’emploi, l’emploi qualifié étant plus stable.

[…] Parmi les compétences à développer, le ministre cite prioritairement la maîtrise du néerlandais et de l’anglais.

[…] « Beaucoup d’employeurs se plaignent des pénuries de main-d’œuvre qualifiée et Actiris de ne pas recevoir assez d’offres d’emploi. De cette double insatisfaction peut naître une amélioration », espère Bernard Clerfayt en plaidant pour la mise en place de formations « sur mesure » organisées par l’Office bruxellois de l’emploi au sein des entreprises.

Métiers en pénurie : la formation booste l’accès à l’emploi

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Métiers en pénurie : la formation booste l’accès à l’emploi (construction, informatique, logistique, ...)

En Région bruxelloise, on dénombre 100 métiers pour lesquels les employeurs rencontrent des difficultés de recrutement.

Expert-comptable, analyste-programmeur, barman, coiffeur ou encore magasinier font tous partie de la liste dressée par Actiris, et indispensable à Bruxelles Formation pour développer et adapter ses formations.

Pour 82 métiers, les employeurs bruxellois rencontrent des difficultés de recrutement en lien avec la qualification. Seules les professions comme ingénieurs, les enseignants et les professionnels de la santé ne sont pas concernés selon ce critère.

La cause quantitative concerne 52 professions dont les ingénieurs, les métiers de l’informatique ou de la santé. Enfin, les difficultés de recrutement en lien avec les conditions de travail visent pour leur part 28 professions et touchent principalement les métiers de la vente, de boucher ou encore de coiffeur.

En 2018, 15 nouvelles fonctions critiques ont fait leur apparition : architecte, expert-comptable, conseiller en prévention ou encore concierge d’immeuble. A contrario, 28 fonctions n’apparaissent plus : agents de sécurité, secrétaires commerciaux, téléphonistes-réceptionnistes ou encore responsables logistique.

« (…) Il faut orienter les chercheurs d’emploi vers ces métiers, sensibiliser les employeurs mais aussi travailler sur les conditions de travail de certains métiers. Enfin, à terme, il faudra que la formation professionnelle couvre 100% des fonctions critiques », conclut Bernard Clerfayt..

2.430 chercheurs d’emploi ont suivi une formation en lien avec une fonction critique en 2018. Pour ces personnes formées, le taux de sortie vers l’emploi est de 63,1%. C’est dire que suivre une formation dans les secteurs en pénurie de main d’œuvre renforce l’employabilité.

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