Extraits des articles publiés par Le Soir en Une et en page 6

(Page 1) l’Office régional de l’emploi est prié de «faire mieux avec un peu moins»

[…] «L’objectif, c’est de continuer à rendre Actiris plus efficace et d’aider mieux les personnes en demande d’emploi. Un budget annuel de 720 millions pour 89.000 demandeurs d’emploi inscrits, cela fait 8.000 euros par personne. C’est énorme. Pour un montant pareil, on doit constamment s’interroger sur les stratégies les plus efficaces. Il faut évaluer l’ensemble des mécanismes et donner plus à ceux qui ont le meilleur rapport coût-efficacité. Je compte mener ce travail.»

(Page 6) Pour le ministre de l’Emploi, Actiris «doit davantage être un partenaire des employeurs, pour mieux répondre à leurs attentes».
Un ministre de l’Emploi qui voit son budget réduit de 3,3 % et ne se plaint pas, c’est rare. « Il n’y a aucune réduction des dépenses réelles qui soutiennent les politiques de l’emploi […] Ce sont des corrections techniques, en fonction des montants réellement dépensés en 2019. »
«Il n’y a aucune réduction des dépenses réelles qui soutiennent les politiques de l’emploi, insiste le Schaerbeekois. Ce sont des corrections techniques, en fonction des montants réellement dépensés en 2019.»

[…] «Si on ne veut rien changer, il n’y a jamais de marges. L’objectif, c’est de continuer à rendre Actiris plus efficace et d’aider mieux les personnes en demande d’emploi. Un budget annuel de 720 millions pour 89.000 demandeurs d’emploi inscrits, cela fait 8.000 euros par personne. C’est énorme. Pour un montant pareil, on doit constamment s’interroger sur les stratégies les plus efficaces. Il faut évaluer l’ensemble des mécanismes et donner plus à ceux qui ont le meilleur rapport coût-efficacité. Je compte mener ce travail.»

[…] «Actiris doit être un meilleur partenaire des employeurs à Bruxelles. Chaque année, il y a des dizaines de milliers d’offres d’emploi.»

[…] «Actiris doit travailler avec les entreprises, pour recevoir ces offres d’emploi et aider les demandeurs
d’emploi à se former pour répondre à ces offres d’emploi. Aujourd’hui, ce n’est pas assez le cas. Plus on sera partenaire des employeurs, plus on augmentera le taux d’emploi bruxellois à Bruxelles.»

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Extrait de l'article publié par BX1

L’incubateur de start-ups et l’entreprise de télécommunications s’engagent pour améliorer l’emploi et stimuler l’esprit d’entreprise auprès des “jeunes talents formés à MolenGeek qui n’ont pas nécessairement un parcours scolaire typique“, s’est enthousiasmé Ibrahim Ouassari, co-fondateur de MolenGeek, lors d’une conférence de presse en commun avec le président du conseil d’administration de Proximus, Stefaan De Clerck, et le ministre bruxellois de l’Emploi, de la Formation professionnelle et de la Transition numérique, Bernard Clerfayt.

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Dans les 10 à 15 ans à venir, on estime que l’emploi pourrait doubler dans le secteur de l’alimentation durable et créer près de 3.000 emplois supplémentaires. La croissance de ce marché est la plus forte à Bruxelles. Actuellement on estime que le nombre d’emplois dans ce secteur se situe entre 2500 et 3500.

Ce mercredi 6 novembre, le Ministre de l’Emploi et de la formation professionnelle Bernard Clerfayt participait aux Rencontres durables,  une après-midi d’échanges entre employeurs et futurs travailleurs du secteur de l’alimentation durable.

De plus en plus de Bruxellois.e.s se dirigent déjà vers une alimentation plus durable pour avoir accès à une nourriture de qualité, respectueuse de la santé, de l’environnement et des hommes. Un tiers de notre impact sur l’environnement est lié à ce qu’il y a dans notre assiette !

Cette alimentation assure des emplois locaux, non délocalisables, indispensables pour lutter contre le chômage des Bruxellois. Du maraîchage à la gestion des déchets, en passant par la transformation, la distribution ou encore l’Horeca, l’alimentation durable est un secteur d’avenir.

Bernard Clerfayt a rappelé à cette occasion que des centaines d’hectares étaient disponibles en Région bruxelloise, et que l’aquaponie se développe et offre de nouvelles possibilités de cultures. On a à y gagner sur tous les plans : environnement, santé et emplois locaux.

Extraits de l'article paru dans La Libre de ce 7 novembre 2019

Bruxelles dispose d’un grand potentiel de développement d’agriculture urbaine. “La région contient plusieurs centaines d’hectares agricoles qu’il suffit d’utiliser , explique Bernard Clerfayt (Défi). Aujourd’hui, on peut aussi cultiver sur les toitures ou en aquaponie. Ce sont des options qu’on veut mettre en place à l’avenir.”

Création d’emplois

En investissant dans le maraîchage, la région pourrait créer au moins 1 400 emplois qui en généreraient d’autres, dans le domaine de la transformation et de la distribution alimentaires. Jusqu’à devenir totalement autonome ? Non, clarifie le ministre bruxellois de l’Emploi. “La ville sera toujours dépendante de la campagne, notamment pour la viande. Et nos bananes viendront toujours du Brésil ou du Congo. Mais pour le reste, Bruxelles pourrait produire ses propres fruits et légumes. Il y a en tout cas un vrai potentiel que nous devons exploiter. C’est meilleur pour la santé, pour l’environnement et ça crée des emplois locaux. C’est du win-win !”

Dossier publié par BX1 ce 7 novembre

Habituellement, Actiris commence l’année avec un budget en hausse. Ce ne sera pas le cas cette année. Selon nos sources, le budget 2020 d’Actiris diminuerait de 38 millions d’euros, passant de 750 à moins de 720 millions d’euros. Le cabinet Clerfayt confirme la baisse, mais pas le chiffre précis.

[…] Le cabinet du ministre de l’Emploi et de la Formation, Bernard Clerfayt (DéFI), nous confirme une diminution du budget d’Actiris, mais pas le chiffre de 38 millions d’euros. La porte-parole du ministre ajoute « Bruxeo n’a qu’une vue partielle et incomplète du budget emploi qui est plus large que le seul budget d’Actiris. » Elle précise qu’il n’y a pas de craintes à avoir du côté des paiements des salaires ACS: « Ceux-ci seront payés et il n’y a pas de coupes prévues dans ce dispositif. » Une rencontre est prévue entre Bruxeo et le ministre le 13 novembre prochain.

[…] « Le gouvernement bruxellois a-t-il les moyens de ses ambitions ? », interroge Philippe Vandenabeele, secrétaire régional bruxellois de la CGSLB. Avant d’ajouter : « Si la réduction de budget se confirme, c’est aussi l’occasion de mener une réflexion sur les priorités d’Actiris dans le contexte économique et social d’aujourd’hui. »

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Bruxelles, 16 octobre 2019 - Le Ministre bruxellois de l'Emploi et de la Formation professionnelle, Bernard Clerfayt et Delhaize concrétisent la nouvelle collaboration entre Delhaize et les services publics de l’emploi, Actiris, et de la formation, Bruxelles Formation et VDAB Brussel. Plus que jamais, ces organisations collaboreront dans le cadre de programmes d'emploi et de formation au sein des activités de Delhaize. L'objectif partagé est d'offrir aux Bruxellois des nouvelles opportunités sur le marché du travail et ainsi d’augmenter le nombre de Bruxellois à l’emploi.

Renouvellement de la convention de collaboration, un service gratuit offert aux employeurs

En présence du Ministre bruxellois de l'Emploi et de la Formation professionnelle, Bernard Clerfayt, Delhaize a renouvelé la convention de collaboration avec les services publics bruxellois de l’emploi et de la formation. Cette convention engage les différentes parties à coopérer plus étroitement dans le cadre des programmes pour l'emploi et de formation en Région bruxelloise.  Actiris et Delhaize collaborent déjà depuis 2011 et avec ce renouvellement et l’ouverture à la formation, tous souhaitent redynamiser cette coopération.

Depuis la création de Delhaize, Bruxelles est une Région importante pour la chaîne de supermarchés. Avec 22 supermarchés et 64 magasins Delhaize indépendants (AD Delhaize, Proxy Delhaize, Shop&Go et Fresh Atelier), Delhaize y occupe une place de choix. Cette année, 11 nouveaux magasins ont fait leur apparition sur le marché bruxellois, et l'année prochaine, nous avons l'ambition d'en ouvrir 20 de plus. 

Les clients de Delhaize peuvent compter chaque jour sur le service remarquable de nos collaborateurs. Cette collaboration revêt une importance stratégique pour continuer d’attirer de nouveaux talents. Delhaize compte actuellement quelque 200 postes vacants. Ce sont pour l’essentiel des métiers en pénurie, comme les fonctions de team leaders ou de bouchers, difficiles à pourvoir. Grâce à cette nouvelle collaboration avec Actiris, Delhaize espère trouver plus rapidement les talents dont elle a besoin.

« Delhaize Belgique est un employeur majeur en région bruxelloise, avec plus de 6700 collaborateurs et plus de 1100 recrutements par an. Delhaize emploie également plus de 2000 Bruxellois. L'emploi et la formation représentent donc une part significative de notre politique d'entreprise. Nous tenons aujourd'hui à réaffirmer ce lien avec Bruxelles et donc à renouveler notre partenariat avec Actiris », déclare Xavier Piesvaux, CEO de Delhaize.

La convention, et la collaboration qui en résultera, signifient que Delhaize Belgique fera activement appel à Actiris pour trouver et embaucher du personnel en Région bruxelloise. Pratiquement, un consultant d’Actiris, spécialisé dans la grande distribution, analysera les besoins de Delhaize et lui proposera les services les plus adaptés : conseil pour les recrutements, stages en entreprises, formation, etc. 

Bernard Clerfayt, ministre bruxellois de l'Emploi, soutient à 100% le renouvellement de cette collaboration : « Après une première association, Delhaize continue à faire confiance aux services publics bruxellois en renouvelant la convention de collaboration. Mieux encore, nous la renforçons puisque dorénavant, Delhaize travaillera aussi avec les acteurs de la formation. C’est une reconnaissance de la qualité de nos services publics et l’occasion de lancer un appel à tous les employeurs qui ne collaboreraient pas encore avec nous », explique Bernard Clerfayt.

COMMUNIQUE DE PRESSE

« Zainabou a 32 ans et est une professionnelle du rangement, du nettoyage, du traitement du linge et du repassage. Elle a suivi un accompagnement spécifique de deux semaines via la Mission locale d’Etterbeek avant de passer les épreuves de validation des compétences : cours de français portant spécifiquement sur le métier d’Aide-ménager(ère), de gestion du stress, et un coaching individuel. Zainabou a ensuite réussi les épreuves de validation des compétences et a obtenu deux Titres de compétence (entretien du linge et entretien courant de l’habitation). Seulement deux semaines après, Zainabou a été engagée chez TM Titres-services. Aujourd’hui, elle travaille sous contrat CDI à raison de 19 heures par semaine et est particulièrement contente de son emploi car grâce à ses horaires, elle peut travailler et prendre le temps de s’occuper de ses 4 enfants. »

Depuis 2016, sous l’impulsion du Ministre bruxellois de l’emploi et de la formation professionnelle, un projet d’accompagnement des personnes par les Missions locales vers la validation des compétences a été développé.

« Grâce à la dynamique partenariale développée avec les missions locales, on ouvre l’accès du dispositif à un public plus fragile qui n’aurait pas eu accès à la validation des compétences sans cet accompagnement », se réjouit Olivia P’tito, Présidente de la coordination bruxelloise de la validation des compétences.

L’accompagnement propose notamment un renforcement en français spécifique au métier concerné et la gestion du stress pour mieux se préparer à passer une épreuve de validation des compétences. Sur la période allant de janvier à décembre 2018, les Missions locales participantes ont informé 343 personnes de l’existence de ce projet. 133 personnes ont participé aux modules d’accompagnement organisés par les Missions locales. 107 d’entre elles ont obtenu 171 Titres de compétence associés à 7 métiers tels que l’aide ménager(ère), le jardinier(ère), le peintre-décorateur…. Suite au rapport d’évaluation réalisée par le « Centre de recherche SPIRAL », à la demande de l'Instance Bassin Enseignement-Formation-Emploi de Bruxelles, le Ministre bruxellois de l’emploi et de la formation professionnelle a décidé, début 2019, de poursuivre le projet.

« Tous les chercheurs d’emploi qui ont des compétences, mais pas de diplôme, doivent pouvoir les faire reconnaître pour accéder au marché du travail et, par la suite, évoluer dans leur job, souligne Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation.

Valider ses compétences permet de passer un examen pratique dans un Centre de Bruxelles Formation, du SFPME, ou de l’Enseignement de promotion sociale et, en cas de réussite, de recevoir un titre officiel délivré par les gouvernements francophones et reconnu par ceux-ci. 

«Les Missions locales ont un rôle essentiel à jouer pour valoriser les compétences déjà acquises par les chercheurs d’emploi qui frappent à leur porte.  Les accompagner vers cette certification professionnelle leur ouvrira de nouvelles opportunités», conclut-il.

En 2019, ce sont les Missions locales d’Etterbeek, d’Ixelles, de Molenbeek et de Schaerbeek qui participent au projet d’information et/ou d’accompagnement des personnes à la validation des compétences. Plus de 40 Métiers sont concernés dans des secteurs aussi divers que la construction, l’électricité, l’horeca, la logistique, le service aux personnes, le commerce et l’industrie alimentaire.

Vos rendez-vous en septembre à Bruxelles :

• Des conseillers validation des compétences et l’acteur Oussama Benali, seront près de chez vous avec le Formtruck de Bruxelles Formation: le 12.09 Place Liedts,  le 16.09 devant l'entrée du métro Comte de Flandre, le 17.09 Place Flagey de de 12 à 18h.
• Une séance d’information générale a également lieu le 26.09 à 14h à la Cité de métiers de Bruxelles (Madou)

Plus d’infos : www.validationdescompetences.be

Contact presse :         

• Pauline Lorbat- Porte-parole, Cabinet du Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation Bernard Clerfayt - 0485/89.47.45- plorbat@gov.brussels
• Selin SALUN – Attachée de presse, Bruxelles Formation – 0499/58.83.41  - s.salun@bruxellesformation.brussels – www.bruxellesformation.be
• Sébastienne MISONNE - Chargée de Communication, Consortium de validation des compétences - 0495/54.63.26 - s.misonne@cvdc.be - www.validationdescompetences.be